jeudi 6 juin 2013

Quand sonne la vie


A ta porte
Raison de croire qu’il en va ainsi.
Oh, quelle jolie rencontre.

Ce matin  sauvage et solitaire, je m’enfermais dans le tiroir du virtuel,
Quand soudain, il m’est apparu.

Tu m’as toujours dis de me méfier des inconnus,
Mais je le connaissais déjà depuis fort longtemps.
Alors je lui ai ouvert mon cœur.
Était-ce une erreur ?

Ah, comme il pleuvait dehors,
Mais, comme la lumière éclairait le chemin.
Je n’ai pas pris peur,
Pourtant lorsqu’il est parti,
J’ai vu que cette lueur n’était pas que le reflet de mon désir.

Ah, comme j’aurai aimé que tu m’en dises davantage.
Peu importe, le temps d’un instant je t’ai retrouvé.

Aucun commentaire: