A ta porte
Raison de croire qu’il en va
ainsi.
Oh, quelle jolie rencontre.
Ce matin sauvage et solitaire, je m’enfermais dans le tiroir
du virtuel,
Quand soudain, il m’est apparu.
Tu m’as toujours dis de me méfier
des inconnus,
Mais je le connaissais déjà
depuis fort longtemps.
Alors je lui ai ouvert mon cœur.
Était-ce une erreur ?
Ah, comme il pleuvait dehors,
Mais, comme la lumière éclairait le
chemin.
Je n’ai pas pris peur,
Pourtant lorsqu’il est parti,
J’ai vu que cette lueur n’était pas
que le reflet de mon désir.
Ah, comme j’aurai aimé que tu m’en
dises davantage.
Peu importe, le temps d’un instant
je t’ai retrouvé.
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