A te dire la vérité, ma première réponse fut oui.
Tu semblais nerveuse, tournant exagérément ton café noir et
silencieuse tu affichais un léger sourire malicieux. J’essayais de lire dans
les profondeurs de ton regard mais tu avais fermé la porte à clef. Je
regardais les morceaux de ta chair apparente dans l’espoir de trouver des
indices. Pas de cicatrice ni même de rougeur pour confirmer mon hypothèse.
Que te faisait-il exactement ? Et pourquoi m’avoir choisi comme
confidente ? Je n’étais pas psy ni même ton amie ; qu’une simple
connaissance de quelques semaines. Mais ta révélation ne pouvait que nous rapprocher.
En avais-je envie ?
Et d’ailleurs, elle consistait en quoi tes pratiques ?
A chaque nouvelle rencontre je m’attachais à ton apparence.
Je me rappelle le
jour où tu es arrivé avec ce collier en cuir noir orné de piques métalliques.
Après son inspection je remarquais une petite attache sur le côté. Je n’ai pu m’empêcher de t’imaginer objet de
plaisir.
Aujourd’hui ton t-shirt noir à fermetures éclair multiples
venait dessiner tes formes fébriles.
Mes autres voisines semblaient bien anodines à tes côtés.
Non tu n’étais pas folle, seulement malade de tes désirs…
3 commentaires:
lisa, Ca va bien?
I miss you so much! we should keep in touch. make sure you don't forget i'm watching on your blogs! :) x. - Lee
Hi, I'm very happy to get news of you. Do you have an email to speak more with you?
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it's Lisa...
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