vendredi 17 février 2012

...


Je pense souvent à toi.

Je ne veux pas partager de banalité.
Mon présent trop intime aux yeux de tous.

Je garde les mots de ma révolte.
Aspire au silence,
A défaut de te crier mon amour.

Doute et espoir s’unissent,
Portent la croyance de mes jours.

Impatiente toujours, de connaître la suite.
Je goûte sucré salé,
Chaque moment de ce voyage.

Epice sauvage de l’inconnu,
J’apprends.
Connaissance qui se cache et vérité oubliée.

Voir plus clair.
Là débute, le comment se ment de mon  récit.

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